La France (enfin, ce qu'il en reste), est un pays où les salopards font la loi, profitant du sans couillisme de l'administration

Carricature certes, mais c'est quant même fréquent que des gens se voient dépossédés de leur maison ou de leur appartement.

http://www.papysauvage.fr/appart.mp4

Une info, vérifiée, testée, même si le logement est occupé, le propriétaire reste le propriétaire, même si juridiquement, le bâtiment "immeuble" est occupé, toujours juridiquement il peut reprendre ses biens "meubles", si l'occupant les conserve, ça devient du vol avec effraction, donc on peut agir sur ce point. Aussi savoir que les battants de fenêtres et de portes sont des bien "meubles", alors que leurs cadre ou huisseries "immobilisés dans la construction", sont des biens "immeubles", partant de là, on peut donc, dans le même aspect légal, récupérer ses biens meubles, retirer les battants  "mobiles", et mettre les squatteurs en courant d'air, à mon avis ils se cassent. Mais ça va causer dans les chaumières, et les FDO vont marquer le pas, pas l'habitude, pas plus qu'ils n'aiment qu'on leur force la main, mais ...

Testé par un de mes premiers employeurs, un peu gonflé le mec, mais il l'a fait.... Pavillonneur, des gens refusaient de lui verser le solde d'une maison neuve qu'ils occupaient déjà. Mon patron avait fait la connerie de leur donner les clés parce qu'ils étaient à la rue. Il n'y avait pas de mal-façon prétendues pour justifier ce refus de payer, mieux, les fonds du crédit foncier étaient disponibles, mais il fallait la signature des zozos et un chèque.
On est arrivé, mon patron avec son avocat et un huissier, moi en estafette avec un collègue, on a décroché les battants de fenêtres dont mon patron revendiquait la propriété de biens meubles, et on commencé à empiler dans l'estafette. Avant d'avoir tout enlevé, le gars avait fait son chèque, mais ça ne s'est pas arrêté là, mon patron lui a dit,  "je n'ai aucune garantie que vous allez l'honorer, venez avec moi à votre banque pour qu'elle me le verse en monnaie sonnante et trébuchante pour que je le reverse à mon compte, et ainsi fut fait, ça se passait en 1969, maintenant, vu que tout se plaide , même l'indéfendable, je pense que ça ferait certainement une belle bagarre juridique. Pour ma part si telle aventure devait m'arriver aujourd'hui, une chose est certaine: je finirais mes jours aux frais de la princesse pour avoir envoyé les parasites faire l'emplette de costards en sapin.