Les méfaits du loby vacances

Bonjour, 
L'île de Rhodes est en feu, aujourd'hui, ces scénarios font partie de tous les paysages naturels, quel gâchis, nous avons connu l'été dernier les Landes, cette année, entre autres,  encore la région PACA, et le dep 11. 
Revenons à Rhodes
Que cela brûle sur cette île, c'est incontestablement par la main de l'homme et non pas ce prétexte dit "réchauffement climatique" qui n'est qu'un phénomène aggravant. Le risque est proportionnel à la population estivale, cette île, comme beaucoup d'autres voit sa population exploser de plus de 10 fois son occupation normale, parfois bien plus. Laisser augmenter la population estivale est proportionnelle au risque, criminel, là bas comme chez nous. Pour réguler un problème, il faut le réguler à sa base, à sa source, réguler les arrivées (tout comme l’immigration...), mais business, business. 
Le feu est là, le désert le remplace, les vacanciers et autochtones  sont mis à l'abri, puis les vacanciers rentrent chez eux. Jusque là ça semble logique. 
Mais pendant ce temps là que se passe-t-il dans les aéroport, aux réservations, des files d'attentes, des queues de gens gueulards qui veulent quand même partir pour Rhodes alors que le désert s'installe derrière les flammes. Que faut-il être con !
Problème, les compagnies aéronautiques ne veulent pas perdre des transports, les services de réservations ne veulent pas perdre des gains, ils sont prêts à transporter des gens vers un désert, des gens tout aussi cons pour accepter cette destination où plus rien n'est à voir. Trop cons ! Ils sont prêts à accepter ça pour ne pas perdre leurs billet.
Les vacances rendent les gens complètement cons, pour preuve, depuis 60 ans les congés payés ont augmenté leur durée de 60%, constatons que la connerie estivale progresse au moins de 10% l'an. Ma grand mère disait "oisiveté est mère de tous les vices", je me permet de dire "vacances  mères de toutes les débilités"
Méditez, méditez

Comme disait San Antonio : "Je médite mais c'est mon éditeur qui ne va pas être content !" 

San Antonio, il m'en reste !
Frédéric Dard aurait pu faire de la littérature sur ces phénomènes dits "modernes". Je me suis débarrassé de son livre "Les cons" il y a peu de temps, j'aurais peut-être du le dédicacer à Macron et lui faire parvenir