Hé bien pour un concert, quel tintamarre ce fut, que de fausses notes,
un vrai CHANTIER !
Nous avons eu droit à des répétitas, des annonces réchauffées, des mensonges, autrement dit rien de nouveau.
Rien de nouveau sinon, votre
marche en avant vers, en parlant poliment, la "mouize".Monsieur le Président,
Vous avez passé votre temps à vous justifier, prouvant ainsi que vous sentiez bien que l'opinion publique vous tourne le dos.
Puis, suivant une ancestrale formation de marketing des années 90, complètement dépassée, vous avez utilisé des mots qui vous dépassaient, dernière tentative de tromperie, pour la circonstance, essayant de faire croire que vous aviez les choses en main, le pire de tous fut l'utilisation de ce mot
"chantier " avec lequel vous avez martelé, forgé votre discours.
Nous avons appris que dans ce pays tout "était en chantier", comme s'il avait été nécessaire de nous le dire, nous le savions tous : tout est en chantier.
La justice, la police, la gendarmerie, l'éducation nationale, l'économie, l'énergie, les relations extérieures, et j'en passe
partout c'est le chantier.Merci Monsieur le Président de le reconnaître enfin,
la France est en chantier,
mais vous oubliez de dire que tous ces chantiers sont à l'arrêt. Le seul chantier qui avance, est Notre Dame de Paris, il avance bien car il est dirigé par un vrai chef, le général Gorgelin !
Etre président ne vaut pas qualification de chef de chantier, loin de là !Par ignorance j'espère, vous parlez de chose que vous ne connaissez pas, un chantier, pour les gens qui les pratiquent, qui les connaissent,
un chantier peut rapidement tourner au BORDEL.
Oui Monsieur le Président, merci de l'avouer, c'est le bordel,
vous êtes à la tête d'un BORDEL, un BORDEL que ni vous, ni votre gouvernement n'assumez ! Pire vous vous en semblez fier !
Juste une ombre au tableau, une ombre qui n'a pas échappé aux français, vous avez perdu de votre superbe, vos propos sonnent faux, un signe révélateur de votre déclin.
Alors, si, dans un sursaut de civisme vous voulez être utile à la France, démissionnez.