le français non chasseur ne se sent pas concerné, néanmoins, tantôt il gueule après la chasse, tantôt il gueule après les dégats de gibier, cerfs, chevreuils et sangliers sur le capot de sa petite toto, etc, etc,
Quand ça se passe en Italie le français s'en tamponne, mais il faut savoir qu'en France c'est pareil.
Pour Rome, la mairesse est du même bois escrolo qu'Hidalgo, parisiens voyez ce qui vous attend, français également si vous votez pour cette chiasse aux présidentielles !
A savoir
- que le permis de chasse n'est pas donné,
- qu'il revient chaque année,
- qu'il faut payer pour alimenter le fond départemental de dégâts de gibier
- que pour avoir le droit de tuer un animal il faut l'acheter sur pied (bracelets)
- qu'il faut payer l'action annuelle ou le territoire de chasse
- Qu'ensuite l'administration et les victimes de dégats se plaignent qu'il y en a trop alors qu'ils refusent d'en attribuer plus, comprenez si vous voulez ...
Ne serait-il pas intelligent de laisser faire les chasseurs, de les obliger à rendre la bidoche évissérée au préalable comme on sait faire, aux abattoirs pour vérifs sanitaire, découpage et commercialisation ou distribution de la viande, tant d'immigrés apprécieraient, ceux qui ne bouffent pas de cochon, suceront les cailloux !
Au lieu de ça on les limite, on les verbalise s'ils en tuent un de trop, etc, etc, du "plus con tu meurs" !
A savoir que certaines sociétés de chasse on tenté de distribuer gratuitement les viandes de sanglier chevreuil et cerfs aux cantines scolaire >> levée de bouclier des escrolos végans, et autre dégénérés. L'e système qui fonctionnait bien a du cesser en raison de ces emmerdeurs.
A force de voir leur sport taxé, retaxé, critiqué les chasseurs , comme moi ils raccrochent le fusil au ratelier==>> effet induit, la fédération des chasseurs voit sa trésorerie plonger, elle demande à l'Etat de cracher au bassinet==>> Et qui qu'cest qui va payer : le crétin anti chasse comme tout le monde, sous forme d'un nouvel impôt, déjà dans le tuyau, déjà nommé "impôt cynégétique".
Merci les escrolos et connards de préfets qui décident chaque année.Moralité, en Italie comme en France on récolte ce qu'on sème!====================Pour être plus concret :Ci dessous pour mon département, la Nièvre, Voici où nous en sommes en 2020 car nous n'avons pas encore les chiffres de 2021.
[centre]
- L’an dernier, la facture des dégâts de gibier a poussé la Fédération des chasseurs de la Nièvre à imaginer contracter un prêt bancaire de 500.000 €. Finalement non. Mais le sujet reste sur la table et pèse lourd sur l’avenir même de la chasse.
« Nous ne sommes pas plus riches, mais nous allons mieux. Et nous n’avons finalement pas contracté ce prêt de 500.000 €. Ce qui nous convient plutôt. Notamment au regard des conditions financières qui nous étaient proposées. »
L’an dernier, le montant total des dégâts de gibier, surtout du sanglier, sur récoltes dans la Nièvre, avait atteint 680.000 €. La possibilité de ce prêt bancaire, en soutien d’une trésorerie exsangue, avait été mise, en novembre, à l’ordre du jour d’un conseil d’administration de la Fédération départementale des chasseurs de la Nièvre et actée.
Or, cette dernière saison, quelques feux clignotants ont reviré au vert : le nombre important des prélèvements de sangliers, une diminution sensible des dégâts sur prairies et des pertes de foin, une nette diminution du nombre d’ouvertures de dossiers de dégâts sur céréales...
Nous sommes à une limite au-delà de laquelle beaucoup de chasseurs pourraient bien raccrocher le fusil.
BERNARD PERRIN (président de la Fédération des chasseurs de la Nièvre)
Une autre raison motive le soulagement de Bernard Perrin son président. « Emprunter une telle somme pour couvrir les dégâts essentiellement du sanglier est, politiquement, de plus en plus difficile à porter. Et puis les chasseurs ont déjà fait beaucoup. »
Ainsi chacun a-t-il mis la main à la poche. La contribution territoriale dégâts a doublé, passant, au total, de 350.000 à 700.000 €. « Nous sommes à une limite, au-delà de laquelle, beaucoup de chasseurs pourraient bien raccrocher le fusil... Avec une conséquence mathématiquement terrible. L’effectif de chasseurs diminuant, celui des sangliers, donc le volume de dégâts, iraient totalement à l’inverse ! »
D'accord pour payer, mais plus tous seuls !
« Nous sommes dans une situation terrible. Nous devons établir un budget, en n’ayant quasiment aucune idée de la hauteur finale de la colonne dépenses, puisque le montant des dégâts repose sur un cours des récoltes. Il y a deux ans, la dépense liées aux dégâts étaient de 150.000 € et, l’an dernier, près de 700.000 € ! Ça ne peut plus le faire. Ça ne sera pas tenable. D’accord pour payer. Mais les chasseurs ne peuvent plus être les seuls à payer. Ils payent 100 % des dégâts, tout en n’ayant la possibilité de chasser que sur 70 % du territoire ! »
Bien sûr, il y a ce désaccord avec la FNSEA (principal syndicat agricole), qui réfute toute possibilité de voir les agriculteurs mettre la main à la poche. Mais Bernard Perrin espère bien que le lobbying très actif de la fédération nationale « finira par faire évoluer les choses ». Un espoir véritable, face à l’hypothèque, de plus en plus lourde, que fait peser ce dossier dégâts, surtout du sanglier, sur l’avenir même de la chasse. « De toutes les façons, un jour, quand bien même elles le voudraient, beaucoup de fédérations arriveraient à l’impossibilité de payer. Nos réserves ne sont pas inépuisables. »
30.000 €Le plafond au-delà duquel, pour la somme globale payée par la Fédération des chasseurs de la Nièvre pour faire estimer les dégâts de gibier, elle sera alors assujettie à la TVA. « De plus en plus difficile à admettre : payer l’impôt pour assurer une mission de service public, pour le compte de l’État ! »
5 €Le prix du bracelet sanglier, pour la saison en cours et sur l’ensemble du département, pour tout bracelet SAI (attribution initiale) demandé à partir du 15 août 2020. Objectif : prélever des sanglier sédentaires, à certains endroits à moindre coût, pour contenir les dégâts.