Je vais me faire arracher les yeux par les femmes!
On nous explique qu'on (écolos et socialistes) veut mettre des femmes partout, à raison de 50%, c'est rengaine dans les élections, dans les assemblées, mais au fond pourquoi ça ne marche pas ?
Tout simplement que pour à tout prix féminiser des groupes, il faut déjà avoir les personnes aptes et ensuite qu'elles le veuillent.... Déjà il faut prendre en compte les rôles à risque, déjà moins de candidates et qui plus est, celles qui sont candidates ne sont pas forcément aptes. Exemple, le MEDEF, une femme dirigeante à hauteur a pu percer en 70 ans, comment se fait-il que les autres n'y arrivent pas ? Ah ça il y a les métiers modernes faciles, banque, commerce, "marketing", etc, etc, tous ceux qui brassent du vent, autant de métiers où le paraître compte plus que le savoir....
Tapez moi sur la tête si vous voulez, ça ne marche pas, ce n'est pas gagné, raison pour laquelle elles restent minoritaires et le resteront à moins de placer des incompétentes. D'une part légion de métiers ne pourront jamais être exercés par des femmes, placer une femme pour placer une femme ne donne rien de bon, mais c'est ce qu'on fait actuellement, on repousse souvent une personne compétente pour une personne qui vient à reculons, ou alors qui a les dents qui rayent le parquet, et rapidement elle coule la boîte. On place une femme lorsqu'elle est la personne la plus compétente au poste, et non pas pour la statistique. Par le passé, nous avons vu Aubry démolir tout le tissus professionnel français avec une certaine loi des 35 heures en 2000 je crois, maintenant voir des ministres "fraise tagada", ou Parly, l'actuelle ministre des armées qui crache sur ses militaires et sa copine Goulard qui a tout fait sauf des étincelles, venant du milieu de la banque complètement à l'ouest, arrivée brillante, la fleur à la bouche se prétendant aussi qualifiée parce qu' Alliot Marie a brillé à ce poste, faisant, elle, preuve de professionnalisme. Mais non, prendre possession du bureau n'est pas gage de qualification. Le pourcentage homme femme ne sera jamais égal, force est de constater que la qualité de service tombe en chute libre dès lors qu'on veut forcer la proportion hommes/ femmes. Maintenant ça ne s'arrête pas là, on bourre le crâne des enfants avec des idées utopiques, pour les rendre plus tard perméables à ce type de conneries, notamment lorsqu'ils seront en âge de voter : c'est du détournement de mineur à l'échelle nationale
Exemple, la suite concernant l'écriture inclusive, attendons nous à voir arriver dans le monde du travail une génération de "Jeannot de science" (ça promet, c'est déjà commencé, exemple, le peintre chez Florian)
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Source Boulevard Voltaire
https://www.bvoltaire.fr/malgre-le-bonnet-dane-les-tetus-de-lecriture-illisible-persistent/#
Malgré l’interdiction officielle de M. Blanquer et le rejet de deux Français sur trois, la gauche et les écologistes persistent avec l’écriture inclusive*.
Il semble qu’on n’en finira jamais avec les révolutionnaires et la dictature des minorités qui ont toujours cette ambition de casser, détruire le passé, jusqu’à notre magnifique langue. Avant, ils coupaient les têtes qui dépassaient ; maintenant, ils veulent rallonger les mots. Avec des virgules, des traits d’union, des « e » et des points, pour donner de la place à la femme. Vous ne voyez pas ? Moi non plus ! C’est impossible à expliquer. Mais plus c’est gros, mieux ça passe et plus c’est difficile de contredire. Molière serait mort de rire !
Tout au long de notre longue histoire, les hommes auraient profité des femmes jusque dans l’écriture et la formation des mots. Alors, il faudrait changer ces mots pour que, dès le début de la scolarité, puisse sortir de la tête des enfants l’idée de supériorité de l’homme sur la femme. Sans rire, on entend cet argument dans les grands médias. Car ces gens-là, on les invite dans les studios, on les écoute.
Que ces destructeurs expliquent donc à nos enfants pourquoi il y a autant de noms de pays au féminin : France, Angleterre, Allemagne, Espagne, Italie, etc. Presque toute l’Europe est féminine, sauf quatre petits masculins sur vingt-huit États : le Danemark, le Luxembourg, les Pays-Bas et le Portugal. Est-ce que l’enfant est influencé par toute cette puissance féminine ?
Pourquoi les termes propres à la femme (le sein, le vagin… ) sont-ils masculins, mais sont féminins la police, la force, la barbe, la virilité… Sinon parce que le masculin et le féminin d’une langue n’ont pas de rapport avec l’humain, homme ou femme. Et ça, l’enfant le voit bien. Tous les linguistes et experts en écriture, hommes ou femmes, ont beau le répéter, rien n’y fait. Oui, mais là, nous sommes dans les Précieuses ridicules.
Pour l’Académie française – si on veut bien avoir le respect d’écouter les vrais spécialistes -, les termes désignant des fonctions et des grades ne diffèrent pas, qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme. Madame peut être président, professeur, auteur, chirurgien, docteur. C’est ça, la vraie égalité. On n’a pas besoin de savoir si le professeur ou l’auteur est un homme ou une femme, puisqu’ils ont les mêmes compétences.
Que l’on nous explique aussi comment donc ces hommes si supérieurs ont vénéré, admiré et obéi à une quantité de femmes dès le Moyen Âge : citons Bathilde, femme de Clovis II, celle qui déjà faisait interdire l’esclavage ; Aliénor d’Aquitaine, reine de France, puis d’Angleterre, une des plus grandes souveraines d’Europe, elle a influencé le cours de l’Histoire et de la culture de ces deux pays bien plus que nombre de rois ; Blanche de Castille, mère de Saint Louis, une grande femme politique et une mère attentionnée ; Anne de Bretagne, dont nous profitons encore des autoroutes gratuites ; la reine Margot : femme de lettres reconnue, esprit éclairé, mécène extrêmement généreuse, elle joua un rôle considérable dans la vie culturelle de la cour. Tant d’autres femmes ont influencé notre Histoire et notre culture par l’ascendant qu’elles ont toujours eu sur les hommes. Madame de Pompadour ne fut-elle pas la grande conseillère du roi Louis XV ? Et, encore aujourd’hui, cette reine Élisabeth d’Angleterre dont le mari devait marcher trois pas derrière elle.
Il est vrai que depuis la Révolution et la naissance de la gauche, grand paradoxe, on a vu très peu de femmes exercer un pouvoir en France, pour ne pas dire aucune. Le monde est ainsi fait. Humbles constructeurs, d’un côté, ceux qui ont consacré leur vie à notre grand pays et façonné sa langue, enviés de tous. Et de l’autre, les destructeurs bruyants qui n’ont rien à donner. Grandes gueules mais petits c…
* Selon un sondage IFOP-Atlantico de 2017.