2019/10/03/ Attaque terroriste au sein de la préfecture de Police à Paris.

Bonjour, 

Le ver est dans la pomme.

Ça devait arriver, c'était incontournable, tout comme il est prévisible qu'avec le communautarisme accepté, grandissant dans les rangs de l'armée et de la police causeront d'autres soucis dans les mois, années qui viennent. Objectif déstabiliser l'Etat français à coups de ramadan, de prières pour paralyser le travail et d'attentats pour créer le doute et la panique.

Il y a déjà eu des antécédents . Ne s'est-on pas déjà aperçu à une époque, que les pannes des logiciels de paie des militaires se répétaient régulièrement. Militaires luttant contre le terrorisme non payés, quelle belle victoire pour les terroristes infiltrant nos services paie.
Au final, la sous-traitance des paies au privé, a révélé que dans ces entreprises on compte beaucoup d'individus anti-français. Islamiques pour la plupart salafistes, terroristes, vous avez le choix. POINT !
Quelle angoisse pour un officier ayant en charge une intervention face à des terroristes, savoir si la balle ne viendra pas dans son dos ?????? Idem en Gendarmerie, idem dans la police, cette affaire de la préfecture de police n'en est-elle pas un exemple sanglant montrant la faille, le gouffre dans lequel on a accepté des assassins potentiels en leur donnant des accréditations, des armes, des informations?

Bien beau, mais quoi faire ? taper sur Vidocq le ministre de l'intérieur ? Laissons ça à la clique Le Pen et la clique Mélanchon, qui, au fond se réjouissent de ces attentats, ça alimente leurs tabaillas et dont je voudrais bien savoir comment ils feraient à sa place, d'autant que ces recrutement colorés sont l'oeuvre des socialos-communo-verdâtres
Certes il a du exister des négligences de signalement dès lors que son attitude pro islam s'est avérée.
mais alors ?  Interdire tous les arabes dans les administrations et services de sécurité/police/armée ? Dans la réalité on en a tellement naturalisés qu'on ne peut plus les reconduire à la frontière, on déclencherait une guerre civile  car ces individus sont déjà trop nombreux pour les éradiquer. Alors attendons nous à crever sous la lame des égorgeurs, avec des gouvernants jouant les vierges outragées, les mêmes qui leur ont fourni le couteau.

Mon avis et pour revenir plus "faisable", devenir plus ferme dans les engagements, plus fermes sur les contrôles de comportements, mais aussi et surtout stopper la pénétration de ces gens dans notre pays. Visiblement nous ne sommes pas sur cette voie. Interdire toute nouvelle embauche dans ces services de religieux de tous ordres, si l'un d'eux est simplement détecté, dehors.

Rien à dire car tellement équerré du comportement de nos dirigeants, qui se font élire pour leur confort personnel et non ce pourquoi ils ont étés élus.

Un petit commentaire . 
A commencer par mes condoléances aux familles des victimes, leurs amis, leurs collègues de toutes les  profession dites de sécurité qui  sont concernées, visées, ciblées depuis pas mal de temps. 

Je titrais plus haut "Le ver est dans la pomme"; Oui il y est, il y est bien.
Cette affaire montre la fragilisation de nos système d'informations dès lors qu'on laisse accéder des personnes aux coutumes et religions ennemies des religions traditionnelles de la France.
Il fut un temps où suite aux sabotages dans les arsenaux militaires au moment de l'Indochine, et pendant la guerre froide (bien oubliée, pourtant Facho-de-la-maison-blanche nous en ramène une), toutes les embauches de personnels dans les usines travaillant pour l'armée et la sécurité du pays, ERGM et autres, étaient passées au crible,  l'appartenance au PCF et à la CGT écartait tout individus appartenant à ces deux associations de malfaiteurs, jugés alors et à juste titre ennemis de la France tels en prouvent leurs sabotages des années 50 qui ont causés moult morts accidentels en Indochine. POINT !
L'histoire est une chose qui se reconduit régulièrement, nous y revoilà avec des musulmans à la dérive. Donc écartons pas seulement l'islamiste, mais le musulman de nos organisme, car la religion musulmane est le terreau dans lequel pousse l'islamisme et l'intégrisme. POINT.

Au final, que va -t-il se passer ? 
Hé bien les fonctionnaires de police vont tous se suspecter, il ne fera pas bon être gris, même de bonne famille bien français, parfait citoyen,  parfois meilleurs que certains bien blancs, se sentir épier, surveiller, imaginez ce que vont vivre ces gens là....

Pour l'assassin de la Préfecture de Police c'est une grande victoire, une victoire totale par laquelle il sème la zizanie, la suspicion  chez son ennemi, le vrai français (quelle que soit sa couleur). Diviser pour régner, c'est fait !

Maintenant quant aux palabres des journalopes, comme d'habitude ils mettent de l'huile sur le feu, mettant en exergue les  extrémistes les Mélanchon, Le Pen et autres abrutis réclamant des démissions. 
Vidocq est ciblé bien sur. 
Comment pourrait-il en être autrement, les incendiaires ont toujours gueulé au feu, les cocos ne sont-ils pas les ouvriers de cette immigrations, et les ext-droite n'y puisent-ils pas  leur fond de commerce électoral ?  
Mais là je vais prendre la défense de Vidocq : faire haro sur le baudet est trop facile, honteux lorsque le jour est à l'union nationale face à ce fléau.
Que ces abrutis prennent sa place, je serais curieux de savoir ce qu'ils feraient en pareils situation et contexte. 

En résumé l'heure est grave, le traître est dans nos rangs, des blancs, bien blancs se convertissent, un acte révélateur d'une radicalisation possible, il faudra avoir l'oeil, et signaler tout ce qui ne va pas. C'est le devoir non seulement des personnels concernés, mais de tous les citoyens, surveiller son voisin, et autres, c'est maintenant une nécessité salutaire. 

Mais encore faut-il que ce ne soit pas un islamiste qui prenne ou gère les signalements....

Le Général Martinez sort de sa réserve


« Il est minuit moins le quart, Monsieur le Président. Depuis trop longtemps, par naïveté, manque de clairvoyance, déni de réalité, voire collaboration, croyant sauver ainsi la paix civile et sociale, la classe politique n’a cessé de fournir et mettre en place tous les ingrédients qui alimentent les tensions et conduisent à la guerre sur notre propre sol. L’islam doit être soumis aux lois de la République ; et ceux qui ne l’acceptent pas doivent partir, voire être poussés vers la sortie. Votre prudence, comme celle manifestée par vos prédécesseurs, résonne aujourd’hui, dans ce rapport de force engagé par l’islam et auquel vous n’échapperez pas, comme un renoncement à affronter l’esprit totalitaire ».
Ces propos étaient adressés au président de la République dans la lettre ouverte du 13 mars 2018, il y a donc plus de dix-huit mois.
https://volontaires-france.fr/lettre-ouverte-au-president-de-la-republique/
Depuis cette date, la situation n’a cessé de s’aggraver avec à présent des agressions ou des attaques au couteau devenues quasi-quotidiennes provoquant des morts et des blessés considérés comme des faits divers, avec des incendies d’origine douteuse, avec nos églises profanées, vandalisées (875 en un an !), voire incendiées (26 en un an !) dans un silence assourdissant de la part du gouvernement et des médias !
Et aujourd’hui, après les centaines de morts qui ont endeuillé la France et les milliers de blessés qui l’ont meurtrie au cours des dernières années, un nouveau carnage frappe notre pays avec quatre morts et plusieurs blessés, non plus de la main de l’ennemi dans l’espace public, mais dans une enceinte officielle abritant un service de l’Etat assurant une de ses missions régaliennes, de surcroît de la main d’un traitre – appartenant à ce service – passé à l’ennemi. Cette fois, la mort est venue de l’intérieur. Alors, au-delà des polémiques stériles habituelles et des débats politiciens que provoquent ce drame épouvantable, nos dirigeants politiques, qui savent que l’ennemi (nous sommes en effet en guerre) utilise le terrorisme comme instrument de déstabilisation, ne peuvent plus se défausser et s’abriter derrière des déclarations. Ils vont devoir prendre rapidement des décisions désagréables dans l’intérêt de l’Etat et de la nation débouchant sur des actions coercitives s’ils veulent vraiment empêcher cette guerre sur le territoire national, cette guerre vers laquelle nous nous engageons inexorablement. Et s’ils n’en sont pas capables, ils doivent laisser leur place. Car que révèlent non seulement l’acte meurtrier dans sa préparation et son exécution mais également la gestion qui en a été faite par le pouvoir ?
Malgré plusieurs alertes sur sa radicalisation après sa conversion à l’islam, ce djihadiste potentiel était employé dans l’un des services de renseignement chargé de la lutte contre l’islamisme, disposait d’une habilitation « secret défense » – qui plus est, renouvelée récemment – et avait donc accès à des informations ultra-sensibles notamment celles en lien avec l’islam dit radical. C’est sidérant ! Comment ce dysfonctionnement peut-il se produire dans un domaine aussi sensible ? Par ailleurs, alors que le mode opératoire signait l’acte djihadiste, pourquoi a-t-il fallu une trentaine d’heures avant que le parquet antiterroriste s’empare du dossier ? La prise de parole du ministre de l’Intérieur, au minimum maladroite, a semé le doute sur sa sincérité, laissant même à penser qu’il aurait menti. Car ne disposait-il pas, à ce moment précis de son intervention, environ quatre heures après la tuerie, d’informations sur la radicalisation du terroriste ? En effet, au cours d’une interview un député indique que lorsqu’en 2015 ce dernier s’était réjoui de l’attaque de Charlie Hebdo, sa hiérarchie avait été informée. Et il précise que le directeur de cabinet de l’époque du préfet de police est l’actuel Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur, présent à ses côtés lors de la déclaration de ce dernier. D’autre part, il intervenait après la venue à la préfecture de police du président de la République, puis du Premier ministre. Sa déclaration n’était donc probablement pas improvisée. D’autant plus que certains témoignages font état de pressions exercées sur des policiers pour, au mieux retarder la divulgation de l’origine islamiste de l’attaque, au pire tenter de la passer sous silence.
En fait, il faut bien reconnaître que la crainte de l’accusation d’islamophobie empêche la classe politique et en particulier ceux qui dirigent le pays d’agir dans l’intérêt des Français et notamment de leur sécurité. Or, l’islamophobie n’est que la conséquence logique de la teneur des textes fondateurs de l’islam et les carnages que leur application radicale produit à travers le monde. En refusant de nommer l’ennemi, les responsables politiques commettent une lourde faute et mettent en danger la vie des citoyens. Le déni de réalité dont se rend coupable l’Etat est grave et criminel. Et cet ennemi est à présent, non plus seulement sur le territoire, mais au cœur même de l’Etat, dans nos institutions, dans nos services publics, dans nos transports, dans notre police, dans nos armées. On ne peut pas s’empêcher dans le cas particulier de ces dernières, de s’interroger. Par exemple, combien de soldats français musulmans effectuent chaque année le pèlerinage à La Mecque ? Dans quel état d’esprit rejoignent-ils leur unité après avoir scandé avec des dizaines, des centaines de milliers de pèlerins ces prières de haine contre les non-musulmans ? Depuis des années, l’ennemi déroule son plan sans être inquiété, simplement en se servant de notre démocratie et en appliquant la stratégie adoptée en 2000 à Doha par l’OCI (Stratégie culturelle islamique dans les pays non islamiques). Notre pays est gangrené de l’intérieur et nos dirigeants, au lieu de prendre conscience de la menace et de la contrer, accompagnent cette islamisation criminelle de la France. C’est ainsi que la cathédrale Saint-Louis des Invalides a été profanée par la prière islamique au cours d’un concert, et qu’on a également facilité l’organisation d’une conférence à Paris par la Ligue islamique mondiale. Et que dire du rapatriement des djihadistes d’Irak et de Syrie avec leurs enfants, véritables bombes à retardement ?
La situation est donc extrêmement grave et si la 5ème colonne a facilité le carnage du 13 novembre 2015, la tuerie de la préfecture de police confirme l’existence d’un ennemi intérieur prêt à passer à l’action. Il n’y a plus de frontière entre l’ennemi et l’ennemi intérieur. En niant la menace et son caractère religieux dont se réclament les djihadistes, les responsables politiques trahissent leur mission de protection des Français et l’avenir de la nation qui devrait être leur priorité. Nos concitoyens doivent prendre conscience que nous sommes dorénavant face à une guerre sainte menée au nom de l’islam par les soldats d’Allah. Il faut donc s’y préparer, nous sommes prévenus. Résister à l’islam doit devenir un acte patriotique.
Ce carnage de la préfecture de Paris se produit au plus mauvais moment pour le président de la République et pour le gouvernement, quelques jours après le lynchage d’Eric Zemmour (exécuté parce qu’il dit la vérité), le lendemain de la grande manifestation des policiers exprimant leur colère et juste avant le lancement du débat sur l’immigration. Il va bien falloir que le pouvoir comprenne que la France n’est pas simplement une start-up, que c’est une pure folie que de continuer à laisser entrer une immigration de culture hostile à notre civilisation. Il faut dans l’immédiat écarter des services publics et notamment régaliens ceux qui sont suivis pour radicalisation, fermer les mosquées salafistes et renvoyer leurs imams. Et à ceux qui invoqueraient l’état de droit pour ne rien faire, on répondra que nous sommes en guerre et que de toutes façons le droit est un outil à la disposition du pouvoir pour lui permettre de légitimer son action. Il peut donc être modifié et confirmé par le Parlement. Ainsi l’état de droit est respecté. L’islam doit être soumis aux lois de la République, et ceux qui ne l’acceptent pas doivent partir, voire être poussés vers la sortie. Car entre nos cercueils et leur valise, il va falloir choisir.
le 06 octobre 2019
Général (2s) Antoine MARTINEZ

Hum, on va y revenir et plus vite qu'on ne le pense!!!



Florian

Hé oui, le fameux "ordre nouveau" va tourner au "sang dans le caniveau"

Tout se résume bien dans la dernière phrase du Gal. Martinez ....

exactement, et vu que l'ordre est toujours actif, va savoir comment ça se passerait!!!
Il y en a qui auraient du souci à se faire, sauve qui peut!!!

Florian