A Renault 3L et 4L

:9099:   Hop Caneton !  je ne sais pas si la R3 (3 vitesses) et la R4 (4 vitesses) dès le début, il me semble.

J'ai eu 2 4cv et 2 Dauphine. plus une R18 diesel.

Je me rappelle les premières 4L avec les pare chocs en forme de tube chromé ,double tubes derrière qu'on devait abaisser pour ouvrir le hayon.
J'ai eu moult dauphines avec toujours le même N° d'immatriculation ,à cette époque pas très riche suffisait de changer la plaque ovale et plaque losange dans le coffre pour éviter de payer une carte grise.
Je peux le dire maintenant y'a prescription.
Et j'ai une R18, ma première voiture neuve, souvenirs!!

gibus a écrit:

:9099:   Hop Caneton !  je ne sais pas si la R3 (3 vitesses) et la R4 (4 vitesses) dès le début, il me semble.

J'ai eu 2 4cv et 2 Dauphine. plus une R18 diesel.

La R3  a été fabriquée peu de temps, un an ou 2, et en 3 vitesse, la R4 pendant plusieurs années en 3 vitesse jusqu'au salon 67 où elle est passée en 4 vitesse. J'en ai eu une première série 4 vitesse début 68

J'ai cherché sur Wiki les caractéristiques des R3 et R4

la R3, seulement 2500 exemplaires, complètement dépouillée de chrome et autres

La Renault 3 était une version bon marché de la Renault 4, produite en 1961 et 1962. La Renault 3 (R1121) est en fait le modèle de base initial de la série « 4 ». Ce modèle avait pour rôle de proposer une offre similaire à la Citroën 2CV, un véhicule purement utilitaire à destination des entreprises et administrations, et une possibilité d'accès à l'automobile pour les personnes aux revenus les plus faibles, en milieu rural en particulier. La Renault 3 était un modèle dépouillé à l'extrême, ce qui n'a pas séduit les consommateurs, et le véhicule a été surnommé par la suite « le vilain petit canard » (voir 4L Magazine n°2) par les rares personnes qui n'avaient pas oublié sa courte existence. Elle fut produite à 2 526 exemplaires en tout, et sa vocation utilitaire a fait que ses rares propriétaires ne l'ont pas ménagée ni sauvegardée, ce qui la rend très rare et recherchée des collectionneurs de nos jours.
La Renault R3 fut désignée ainsi parce qu'elle était équipée d'un moteur de 3 chevaux fiscaux; la Renault R4 quant à elle avait un moteur de 4 chevaux fiscaux.

La Renault 4 (couramment appelée 4L) est une petite voiture populaire de grande diffusion de conception simple et pratique. Ce fut aussi la première application de la traction sur une voiture automobile de tourisme de la marque Renault après que cette technique a été adoptée sur l'Estafette en 1958.

Elle est construite d'août 1961 à la fin 1992 dans 28 pays¹, initialement avec la Dauphine sur l'île Seguin à Boulogne-Billancourt ainsi qu'à l'usine Renault de Flins, en Espagne (par Fasa-Renault), en Argentine par IKA-Renault, en Italie par Alfa Romeo (sous licence), au Maroc, à Madagascar, en Afrique du Sud, puis en Slovénie pour les dernières années de sa production².
La Renault 4 connut un grand succès auprès des PME, des artisans, de la gendarmerie (c'était l'une des voitures françaises de l'époque qui permettait de conduire avec le képi sur la tête), mais également auprès des PTT, de France Télécom ou EdF dans sa version fourgonnette F4 ; ces contrats lui donnèrent une très grande visibilité.
En France, la Renault 4 fut en tête des ventes de 1962 à 1965 (succédant à la Renault Dauphine), puis de 1967^b à 1968^c. Elle reste aujourd'hui^[Quand ?] la deuxième voiture française la plus vendue avec 8 135 424 exemplaires derrière la Peugeot 206 et juste devant le duo Renault 9 et 113

pour ma part j,au usé une dizaine de 4l fourgonnette au boulot

J'ai connu , dans un garage (mon premier métier était carrossier) celle d'en haut mais c'était des tubes chromés et à l'arrière deux tubes superposés qu'il fallait abaisser pour ouvrir la hayon.
Je me rappelle plus si c'était la toute première , je me rappelle juste que c'était un toubib d'Amiens qui l'avait.

La toute première ça devait être un simple tube AV et AR, juste peints, je me rappelle ce truc basculant, jamais bien compris le pourquoi.

L'explication sur les R3 et R4 à 3 CV et 4 CV, la quatrième vitesse est effectivement apparue en 1968
Source Wikipédia

Moteur et boîte de vitesses

Le moteur est du type longitudinal avant. Les quatre premiers moteurs à équiper la Renault 4 faisaient respectivement 603, 747, 782 et 845 cm³, ils étaient à 3 paliers (« moteurs Billancourt »). Les derniers modèles reçurent des « moteurs Cléon-Fonte » de 956 et 1 108 cm³ équipés de 5 paliers, conçu par l'ingénieur René Vuaillat pour la Renault Floride S et la Renault 8, à la base.
Ces moteurs tournent dans le sens horaire, tandis que le sens de rotation des moteurs de type Billancourt est anti-horaire. Pour obtenir le même sens de rotation aux roues, le différentiel de la boîte de vitesses est retourné.
Le refroidissement à eau du moteur est assuré par un circuit scellé avec vase d'expansion ; le radiateur (placé au-dessus de la crémaillère sur les premiers modèles - type Billancourt - à cause des renforts internes du capot moteur) fut ensuite placé juste derrière la calandre sur la traverse avant avec l'arrivée des moteurs à 5 paliers. La boîte de vitesses est située devant le moteur à l'extrême avant du véhicule. Initialement elle comportait seulement 3 rapports, les premiers modèles présentant une traverse avant parfaitement droite ; sur les modèles 1968 restylés, un quatrième rapport de boîte fut adjoint, imposant un nouveau dessin de la traverse avant du châssis pour permettre le passage de cette nouvelle boîte. Le levier de vitesse est situé au tableau de bord, la commande est du type « coulissante ». D'autre part, le nez de boîte des premières R4 était rond, tandis que les boîtes 4 rapports sont qualifiées de « boîtes carrées », du fait de la forme du carter de nez de boîte.

je vais découper ces commentaires pour les placer sur le sujet spécifique R4

L'évolution au fil des ans, l'explication sur le pare choc basculant, le coffre ouvrait en 2 parties, moitié en bas, moitié en haut sur un modèle "luxe" en 1962


Son hayon arrière "5e porte" rend la Renault 3 polyvalente. C'est à la fois une voiture de tourisme et un petit véhicule utilitaire.

1961 (berlines : 20 700 / fourgonnettes : 0) Née en 1961, elle était disponible en 4 versions, R3, R4, R4L et fourgonnette, 3 et 4 cv. 1961 : R4, identique à la R3 mais avec un moteur 4 cv et R4L, modèle de luxe avec 6 glaces (custodes ouvrantes), calandre alu centrale (ne comprenant pas les phares) , pare-chocs en tubes chromés, enjoliveurs de roues tripodes, "moustaches" de plaques d' immatriculation à l'avant et à l'arrière.

1962 (berlines : 196 256 / fourgonnettes : 26 527) En 1962, apparaissent les versions Super (4cv), mieux équipées, et dotées d'une porte arrière basculant vers le bas, de pare-chocs à double tube tandis que disparaît la R3 est la R4 fourgonnette 3cv, remplacée par une version de 5 cv, (comme pour la super) commercialement plus acceptable! Courant 1962, la R4L devient physiquement celle que l'on connaîtra jusqu'en 1967, avec des pare-chocs à lame plate chromés, abandon des moustaches chromées de plaques de police et des enjoliveurs tripodes, tandis que la R4 ne change pas avant 1964 où elle adopte les pare-chocs à lame, mais peints.

1963 (berlines : 238 249 / fourgonnettes : 32 154) En 1963, apparaît la Parisienne, version plus finie que la 4L de base, décorée de cannages ou de motifs écossais sur les portes, le hayon et les ailes arrières, équipée au choix du moteur 4 ou 5cv. la R4L adopte les glaces de custode fixe.

1964 (berlines : 206 200 / fourgonnettes : 28 609) La R4 de base abandonne ses pare-chocs en tube pour des pare-chocs en lames peintes. La R4L est disponible en 5cv sous le type R1123 (845 cm3)

1965 (berlines : 224 976 / fourgonnettes : 35 994) En 1965, elle s'appelle RENAULT 4 et non plus 4L.

1966 (berlines : 258 896 / fourgonnettes : 44 886) Vase d'expansion en verre sur la joue d'aile droite. chrome sur : calandre, pare-chocs, poignées, enjoliveurs de roues et glaces de custode.

1967 (berlines : 321 079 / fourgonnettes : 47 487) Nouveaux sièges et nouvelle planche de bord (le volant et la boule des vitesses sont rouge cette année là). Abandon progressif de la parisienne, tableau de bord de deuxième génération de couleur sable (qui sera utilisé jusqu'en 1983 -mais en noir à partir de 1977-), montage en septembre d'une nouvelle calandre aluminium entourant les phares, de la boite à quatre vitesses et de nouveaux pare-chocs.

1968 (berlines : 336 604 / fourgonnettes : 52 268)

1969 (berlines : 310 213 / fourgonnettes : 64 873)

1970 (berlines : 288 733 / fourgonnettes : 71 768) Montage du circuit électrique 12 Volt.

1971 (berlines : 279 069 / fourgonnettes : 75 020) Ceintures de sécurité à l'avant, sièges inclinables à l'avant (export)

1972 (berlines : 266 551 / fourgonnettes : 85 108) suppression du "trou de manivelle" , ainsi que des feux latéraux de stationnement et des butoirs de pare-chocs

1973 (berlines : 219 235 / fourgonnettes : 90 649) suppression du macaron d'aile. Points d'ancrage pour ceintures de sécurité à l'arrière (export).

1974 (berlines : 259 889 / fourgonnettes : 100 104) Nouveau logo de calandre. nouvelle calandre en plastique noire.(qui deviendra grise à partir de 1978)

1975 (berlines : 233 185 / fourgonnettes : 75 927) On reconnaît les modèles de l'année 1975 à leurs feux ronds sous la calandre qui seront remplacés en 1976. Retour automatique des essuie-glaces, ceintures de sécurité 2ème génération, signal de détresse,

1976 (berlines : 229 291 / fourgonnettes : 108 357) Nouveaux feux avants rectangulaires, et bicolore peu de temps après. Ensuite, en 1976 avec une 3ème calandre en plastique, noire au début mais qui deviendra grise, en 1978 pour la GTL avant une extension à toute la gamme. Alternateur à la place de la dynamo.

1977 (berlines : 252 055 / fourgonnettes : 106 078) Tableau de bord en plastique noir granité, volant de la Renault 5 TL, ceintures de sécurité à enrouleurs, vide-poches à l'avant. Double circuit de freinage.

1978 (berlines : 265 148 / fourgonnettes : 103 721) Révolution pour la 4L : la GTL : mieux équipée et plus puissante car équipée du moteur 1108 cm3 de R4 F6 et de la R6 TL. Relookée par une calandre grise, des becs de pare-chocs avant , une plaque minéralogique placée sur le pare-chocs avant, des larges bandes de protection latérale etc...

1979 (berlines : 264 653 / fourgonnettes : 110 554) Pneus Tubeless (sans chambre)

1980 (berlines : 241 644 / fourgonnettes : 126 779)

1981 (berlines : 177 660 / fourgonnettes : 114 126) Les charnières de portes supérieures disparaissent à l'intérieur des portes.

1982 (berlines : 182 246 / fourgonnettes : 121 614) Nouvelle planche de bord de la R5, témoin de frein à main, le rétroviseur est collé en haut du pare-brise

1983 (berlines : 173 902 / fourgonnettes : 128 816) Disques de freins à l'avant, frein à main sur l'arrière d'ou le levier de frein à main entre les sièges et non plus à gauche, sous le volant), mais sur les GTL et les TL uniquement . C'est à partir de 1983 que se généralisent la calandre grise et les disques de frein à l'avant

1984 (berlines : 127 658 / fourgonnettes : 98323) Pare-brise feuilleté (et non plus trempé) à l'avant

1985 (berlines : 105 965 / fourgonnettes : 87 903)

1986 (berlines : 88 292 / fourgonnettes : 39 167) Calandre en plastique grise pour tous les les modèles.

1987 (berlines : 76 950 / fourgonnettes : 32 600) Les noms "Clan" remplacent l'appelation GTL et "Savane" la TL.

1988 (berlines : 70 260 / fourgonnettes : 19 878)

1989 (berlines : 62 882 / fourgonnettes : 9 886)

1990 (berlines : 43 542 / fourgonnettes : 36 182)

1991 (berlines : 30 204 / fourgonnettes : 3 408) Feux de recul intégrés dans le hayon, feux de brouillard en option.

1992 (berlines : 21 627 / fourgonnettes : 201) C'est la fin d'une carrière exceptionnelle. Tout au long de sa vie, la "Quatrelle" a subit moulte liftings et s'est déclinée sous plusieurs séries limitées, comme la Plein-air 1968-1970, la Safari 1976-1979, la Jogging 1981, la carte jeune 1991 ou la bye-bye 1992. Avec ses 8 135 424 exemplaires , la Quatrelle est, et restera encore longtemps, la voiture française la plus fabriquée !

1993 (berlines 0 / fourgonnettes : 0)

29 avril, Jean B. voulait absolument remplacer sa vieille Export par une autre Quatrelle "plus moderne", rien à faire, les concessionnaires ne peuvent lui proposer en modèle équivalent qu'une Super 5... il pleut, le ciel est bas...il y a plein de buée...et Jean ne s'habitue pas au levier de vitesses. Alors qu'il câle pour la troisième fois au même stop, une voiture le dépasse non sans lui donner un sympathique petit coup de klaxon d'encouragement, au volant, Laurence, 18 ans, fière d'étrenner son permis avec la voiture de ses parents : une 4L Bye-Bye. Jean a hâte de rentrer...mais nom de dieu, il est où ce bouton pour désembuer !!?.

Oui c'est ça et je crois bien que la lunette se baissait à l'aide d'une petite manivelle

Le système de la glace sur la R 4 il me semble que c’est  certainement à manivelle,  du même système il y a eu les aronde break, et peut-être aussi  des 1300 et 1500

:bonjour:   Ha! c'est vrai, j'avais oublié cette vitre descendante sur la porte ar.

Oui Caneton ça a été repris pour Simca 1500 break